L’escroquerie COVID par le professeur S. Homburg

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Un lanceur d’alerte dévoile l’escroquerie Covid conférence du 02.11.2024, le Professeur S. Homburg

https://www.youtube.com/watch?v=-U7...

Dans sa conférence du 02.11.2024 au Bundestag, le Professeur S. Homburg a présenté la découverte
d’un lanceur d’alerte. Vous y entendrez des faits choquants sur la vie
interne du RKI, dont vous n’avez probablement pas connaissance.
L’événement était excellemment organisé et s’est déroulé sur deux jours. Plusieurs
centaines d’auditeurs s’étaient inscrits, ce qui explique que la « grande salle
d’audition », destinée en premier lieu aux commissions d’enquête, était presque
entièrement remplie.

Merci beaucoup pour l’invitation c’est maintenant ma deuxième conférence ici et par
rapport à l’année dernière nous avons beaucoup progressé, il faut le dire. Car en
Allemagne, nous avons eu la chance d’avoir eu un lanceur d’alerte qui nous a fourni
des données que le monde entier nous envie. Alors, je vous en prie, il ne faut pas
confondre cette fuite du RKI avec les fichiers RKI, qui sont juste ces procès-verbaux
noircis. La fuite du RKI est bien plus importante, près de 10 gigabytes, TOUS les
procès-verbaux, pas seulement une partie sans caviardages, et beaucoup de matériel
supplémentaire comme des lettres, par ex. du président Macron à l’Allemagne,
demandant qu’une approche coordonnée soit adoptée pour les confinements, des
fichiers Excel, des E-mails des présentations PowerPoint et ainsi de suite.

L’importance de la fuite RKI n’est pas tant qu’elle révèle quelque chose de
complètement nouveau
, du point de vue des critiques, mais que ces documents sont
concluants comme preuves et sont désormais également acceptés et traités comme
tels par un premier tribunal. Si quelqu’un sur Facebook écrit que ceci ou cela n’est pas
vrai, cela a fondamentalement peu d’effet, même des articles scientifiques sont souvent
écartés et réfutés par des articles contraires. Mais si le RKI écrit en interne que c’est
ainsi, on peut alors l’utiliser comme preuve devant un tribunal. Car les confinements et
toute la politique Covid ont été coordonnés au niveau international. C’est ce que nous
avons découvert ici en Allemagne, ce qui est important pour tous les pays, pas
seulement pour l’Allemagne.
La question la plus importante que nous nous posions pendant toutes ces années était
la suivante : Est-ce que le RKI, dont les déclarations faisaient autorité et étaient même
reprises par les tribunaux, a fonctionné de manière politiquement indépendante ou était-
il influencé par la politique
 ? Notre Ministre fédéral de la Santé, en mars, a fait une
déclaration très claire, je cite : « Les médias spéculent que le RKI a reçu des
instructions politiques et n’a pas travaillé scientifiquement de manière indépendante.
C’est faux. Les parties noircies sont surtout des noms d’employés pour les protéger de
la haine. »
Il s’agit ici d’une inversion typique entre la victime et l’agresseur. A l’époque
de cette allégation, Lauterbach avait publié quelques procès-verbaux, pas un seul de
son propre mandat et cela vaut encore aujourd’hui, et ils étaient on ne peut plus noircis.
Il ne s’agissait pas d’annuaires téléphoniques, mais de procès-verbaux, qu’on n’ait
noirci que des noms, personne ne le croit. Mais M. Lauterbach s’en est sorti avec cette
affirmation pendant des mois. Comme d’habitude, tous les journaux se sont contentés
de répéter ses mensonges dans leurs articles et éditoriaux. Cela a duré jusqu’au 23
juillet 2024, lorsqu’à 4 heures du matin, ceci s’est produit.

Au matin, à 4 heures, ces 10 gigabytes étaient en ligne. À 6 heures du matin, on a
lancé l’invitation à une conférence de presse à Berlin à laquelle environ une trentaine
de journalistes sont venus. Et à 10 heures. cette conférence de presse a eu lieu, et les
journalistes ont découvert ce que nous avions découvert alors que des milliers de gens
avaient déjà téléchargé les données de la fuite du RKI. Nous avons arrangé les choses
ainsi pour éviter d’être arrêtés directement ou de subir des perquisitions, etc. Du point
de vue des autorités, il s’agissait certes d’un enjeu de taille, mais ils n’ont rien fait parce
que cela ne servait plus à rien. Au moment où ces fuites sont sorties, les procès-
verbaux non expurgés, le ministre fédéral de la Santé a changé d’avis, Lauterbach a
admis que les experts étaient influencés sur le plan politique. Il avait donc maintenu ce
mensonge cinq mois, puis il a dit exactement le contraire de ce qu’il avait dit à l’origine.
Mais comme toujours, sans aucunes conséquences.

En quoi a consisté cette influence politique ? Je vais vous en montrer quelques
exemples, les diapositives suivantes présentent à gauche les procès-verbaux du RKI, et
à droite ce qui se passait dans les journaux, dans le monde réel, au même moment.
Commençons par quelques exemples d’influence politique. Le 5 mai 2020, le RKI écrit,
je cite : « Si le RKI ne répond pas à la demande politique, les décideurs politiques
risquent de développer eux-mêmes des indicateurs et/ou de ne plus consulter le RKI
pour des commandes similaires »
, pour ainsi dire, mais ce sont toutes des citations à la
lettre, y compris les fautes de frappe et les erreurs de virgules. Il est intéressant de voir
ce que l’autorité pense, soit nous faisons ce qu’on nous dit, ou la politique nous mettra à
l’écart. Deux jours plus tard, on lit : « Tester, tester, tester, c’est essentiellement une
stratégie implicite dictée par les politiques. Globalement délicat, car les politiciens
avaient préparé des lignes directrices »
. En mai 2020, il était déjà évident qu’il n’y avait
pas de risque médical et que l’idée d’une pandémie ne tenait debout que par une
augmentation du nombre de tests PCR
. Un élément clé en était la directive du ministre
Spahn de tester en masse. Pas seulement des gens malades, mais des gens en bonne
santé, ce qui n’avait jamais été fait auparavant. Le journal des médecins écrit que cela
doit être payé pour ceux qui sont légalement assurés Cela porte sur des milliards à ce
jour. Deuxième exemple d’influence politique, le 5 mars 2020 : « Ce serait bien que
l’interdiction orale du Ministère fédéral de la Santé soit mise par écrit »
. C’est comme ça
que fait le fonctionnaire intelligent s’il reçoit des instructions illégales et craint des
mesures disciplinaires s’il ne suit pas l’ordre, ou craint d’être tenu pénalement
responsable s’il le suit ; s’il a des instructions écrites du ministère, alors il est tiré
d’affaire. Inversement, nous voyons d’après le matériel que le Ministère a hésité à
donner des instructions écrites. Citation suivante, le 26 mai 2020 : « Comment le RKI
doit-il gérer les interférences des politiciens des ministères sur le contenu ? »
Par ex. du
Ministère de l’Intérieur, du Ministère du Travail. C’était donc le cas, pas seulement des
exigences du Ministère fédéral de la Santé de temps à autre, mais fondamentalement
tous les ministères se mettent à se mêler du travail du RKI.

Et maintenant la phrase la plus folle de l’ensemble de la fuite du RKI, le 28 septembre
2020 : « L’approbation du vaccin à ARNm par la FDA avant les élections
américaines n’est pas souhaitée. Il en va de même pour les autorités
européennes. »
Cela montre à quel point tout cela était politique. On a annoncé au
monde extérieur vouloir sauver le plus de personnes possible par la vaccination. Mais
ce qui était plus important, c’était que Biden gagne l’élection présidentielle. Car Trump
avait sponsorisé le projet Warp Speed, et lié son destin, en gros à une approbation de
l’ARNm avant les élections américaines. Il voulait une autorisation le 1er novembre
2020. Mais les forces politiques derrière le Covid voulaient Biden. On lit sur CNN après
le décompte des votes et que les incertitudes ont été éliminées, que la FDA a approuvé
en décembre 2020 une autorisation d’urgence à Pfizer-BioNTech.

Le deuxième point important est dans quelle mesure il y avait une urgence médicale.
Nous trouvons directement en mars 2020 des citations assez remarquables. La
première de l’AGI, le groupe de travail sur la grippe (au sein du RKI) Ils suivent les
maladies infectieuses et ont des statistiques sur des dizaines d’années, différemment
de ces nouvelles statistiques de PCR. Je cite  : « Les résultats sentinelle AGI suggèrent
que le SARS-CoV-2 ne circule pas largement »
. Le rapport date du deuxième jour du
premier confinement. Un jour plus tard : « Il vaudrait mieux ne pas formuler ces
tendances, car sinon il sera peut être difficile de justifier d’autres mesures. »
Cela
montre cette façon de penser du RKI qui est visible dans tous les procès-verbaux : ils
se sont soumis à la politique et ont toujours pensé en termes de mesures. L’important,
c’était donc les mesures, et on tricotait une sorte de justification pour les légitimer. Alors
que « Le nombre de lits occupés et libres étaient à peu près pareils. » 50 % de places
libres dans les hôpitaux, ajout du RKI : « généralement les places vides sont inférieures
à 10 % ». Suit une phrase en rouge, car elle avait été enlevée des procès-verbaux
officiels. Mais on a trouvé dans les matériaux supplémentaires un « reste », la version
originale du procès-verbal, oublié là. Ce procès-verbal du 25 mars 2020 a été édité en
2023 par une employée du service juridique qui n’avait pas participé à la réunion et était
responsable de rejeter les demandes d’accès à l’information selon la loi d’accès à
l’information, elle dit qu’elle n’a pas modifié le fichier, juste accidentellement stocké.
Comme le RKI n’ a pas de système d’enregistrement conforme à la loi, c’est impossible
à prouver ou à réfuter. On y lit : « Il est audacieux d’affirmer qu’il existe une causalité
entre les mesures et le déclin de la vague. Après tout, nous sommes à la fin de la
saison de la grippe. »

De plus, Mesdames et Messieurs, le RKI avait ce graphique, pour moi le plus
important de toute la crise du Covid. C’est un peu complexe, je vais donc vous
l’expliquer en détail et mettre l’accent sur le fait que cela n’a pas été fait après-coup,
donc pas affaire de biais rétrospectifs. Mais voici le graphique à disposition au début du
1er confinement, sur lequel le RKI voyait ce qui suit : En abscisse (horizontalement) les
semaines de l’année, depuis le milieu de l’année (saisonnier) et en ordonnée
(verticalement) ce qu’on appelle ILI (Influenza Like Illness), les maladies respiratoires.
Ce sont des refroidissements avec de la fièvre, Des refroidissements plus forts que
juste un rhume. Chaque courbe représente une année spécifique, on observe le même
schéma chaque année, au départ, au milieu de l’été, il y en a peu, puis cela augmente
progressivement jusqu’à l’hiver et les mois de janvier et février, ces refroidissements
explosent puis retournent à la valeur d’origine. C’est pourquoi on parle de vagues de
rhume ou de grippe. Ce qui nous intéresse, c’est la courbe noire de l’année 2020. Vous
voyez, premièrement, que le nombre de refroidissements avec fièvre, y compris le
SARS-CoV-2, c’est-à-dire un nombre non spécifique, peu importe le virus qui provoque
l’affection, était anormalement bas pour la saison 2020. Et encore plus important, il avait
décliné dès février, on voit le pic de la courbe noire en février. En février, des politiciens
disaient : a) que le Covid n’était pas dangereux, b) que c’était un complot de droite et
troisièmement, que l’on ne devrait pas hésiter pas à célébrer le carnaval, ce qui a
d’ailleurs été fait jusqu’à fin février. Ce n’est que la première semaine de mars, pour des
raisons auparavant peu claires, que l’ambiance politique a changé en une semaine. Et à
ce moment-là, les refroidissements étaient déjà en chute libre. Cela signifie aussi des
excuses comme, « Oui, bien sûr que ça descendait avant le confinement mais les
fermetures d’écoles ont eu un effet ou l’annulation des grands événements »
. Toutes
mesures incompatibles avec les données, car elles ont toute commencé dès la 10ème
semaine. Mais comme on le voit sur le graphique, cela avait diminué dès la 6e semaine.

Le sujet suivant concerne la vaccination et j’ai plusieurs diapositives là-dessus. Car
dans les procès-verbaux, c’était particulièrement noirci. On lit d’abord le 15 avril 2020,
alors que nous avions appris dans les journaux qu’il n’existerait pas de vaccin pour un
bon bout de temps, car le développement prend 10 ans et si un vaccin arrive, il sera
facultatif. On lit en interne ceci : « Jusque-là, on n’a aucune expérience avec les vaccins
à ARN et à ADN. L’EMA et Pfizer envisagent de laisser tomber les études de phase 3
au cas où. »
Deux semaines plus tard : C’est d’ailleurs très instructif, « Plusieurs
vaccins seront développés et testés à un rythme accéléré. Les données pertinentes ne
seront collectées qu’après la commercialisation »
. Cela signifie que l’on injecte d’abord
toute la population et on verra ensuite si c’est bénéfique ou nocif
, oui c’était le plan. Et il
a été mis en œuvre ainsi. Vous savez que le 27 décembre 2020, les premières
vaccinations ont commencé et qu’en phase préliminaire, le 8 janvier 2021, on lisait :
« L’efficacité du vaccin n’est pas encore connue. La durée de protection est également
inconnue. »
Ils répétaient ce qui figurait dans l’autorisation de l’EMA, en gros, que
l’approbation consistait essentiellement à protéger contre un test PCR positif, mais tout
le reste, la protection contre les maladies graves, la protection contre le décès et autres
ne pouvaient être garantis. En mars, on constate les premiers signes de scepticisme :
« Rien ne prouve encore que l’effet de la vaccination entraîne moins de décès chez les
personnes âgées. Les personnes vaccinées meurent-elles ? »
A droite, vous voyez un
document de WDR (radio) qui montre les étapes de développement habituelles d’un
vaccin. La recherche et le développement peuvent prendre de 8 à 17 ans. Cette fois, on
l’a fait en seulement quelques mois. Le résultat, comme nous le savons, a été
catastrophique. Deuxième point sur la vaccination : Protège-t-elle les autres ? Cette
question est extrêmement importante car la vaccination obligatoire généralisée est
fondée sur l’allégation que les vaccinés protègent aussi les autres. S’il ne s’agissait que
de se protéger soi, alors une obligation légale aurait été hors de question. Que pensait
le RKI de la protection des autres ? Très tôt, le 8 février 2021, on lit : « Il faut s’attendre
(mais ce n’est pas sûr, car cela n’a été montré nulle part) à ce que grâce à la
vaccination on soit protégé contre les maladies sévères, mais pas contre la prolifération
locale du virus. »
En août, on lit : « Les bénéfices de la 2G, (soit l’exclusion des non
vaccinés de la vie sociale) ne sont pas une plus grande protection des autres mais une
plus grande protection de soi. »
Et en 2022 on lit : « Il n’y a aucune preuve que les
vaccinations apportent un changement dans l’excrétion. Aucune preuve de
changement. »
En résumé, en interne, c’était clair et limpide, et la position était
cohérente avec tout ce qui figurait dans la littérature, en particulier dans l’étude
d’approbation de Pfizer qui n’a jamais prétendu de protection des tiers. Qu’est-ce que
cela signifiait pour la communication au public ? Le pays tout entier sera pris en otage
par ces personnes. C’est ce que Lauterbach a lancé aux non-vaccinés, aux députés du
Bundestag lors d’un débat à la question de savoir si une obligation générale de
vaccination serait introduite. Comme nous le savons aujourd’hui, cela devrait être le cas
et n’a échoué que de peu. Et si l’on est honnête, cela n’a échoué que parce que
l’opposition à la CDU/CSU avait des idées différentes sur la façon de mettre en place de
larges vaccinations obligatoires et qu’ils se bloquaient respectivement dans leurs
propositions. C’était une décision de justesse. Mais vous voyez sur cette diapositive une
preuve très claire que ce qui était communiqué à l’extérieur était totalement contredit
par ce que l’on savait à l’interne.

La prochaine diapo concerne la sécurité du vaccin. Maintenant les choses deviennent
très sérieuses, si vous n’avez pas les nerfs solides, vous devriez sortir un moment. Le
19 mars 2021, cela fait donc 3 mois que l’on vaccine, « AstraZeneca suscite un grand
battage médiatique général. Maintenant 12 cas de thrombose de la veine sinusale Les
organismes de pharmacovigilance de l’Institut Paul Ehrlich ne suivent pas bien. » Puis,
« Thrombose sinusale, aussi chez les hommes, une incidence 20 fois plus élevée. »

Cela veut dire que ceux vaccinés avec AstraZeneca avaient un risque 20 fois plus élevé
que les non vaccinés de souffrir de thrombose sinusale, une maladie vraiment grave
mettant la vie en danger. Dix-sept mai 2021, rapport sur les effets secondaires,
« L’Institut Paul Ehrlich en a compté 45 000 au cours des dernières semaines,
myocardite chez les jeunes hommes, thromboses de la veine sinusale et ainsi de
suite. »
Dans la seule audience à ce sujet jusqu’à présent, la Commission d’enquête de
Brandebourg le Chef du département de la sécurité de Paul Ehrlich, Mme Dr Keller
Stanislawski a témoigné : « Il y avait des gens qui ne s’occupaient que des décès et des
gens qui ne s’occupaient que des myocardites, nous avions beaucoup plus de travail
que jamais auparavant, juste avec ces vaccins. »
La plus choquante, c’est la diapositive
suivante, regardez ici encore les dates, mars, avril, mai, cela montre à quel point le
vaccin AstraZeneca est dévastateur. Et même le citoyen ordinaire qui n’a pas accès à
des connaissances scientifiques est devenu méfiant. Les gens avaient reçu des
informations convaincantes de leur entourage sur ce qu’il se passait. Comment les
leaders politiques allemands ont-ils réagit à ces avertissements ? Par les titres
suivants : « Le Président fédéral Steinmeier s’est vacciné avec AstraZeneca », « La
chancelière Merkel et le vice-chancelier Scholz se sont vaccinés avec AstraZeneca »,
« Karl Lauterbach s’est fait vacciner avec AstraZeneca »
. Et le dernier à le faire, en mai,
« Jens Spahn s’est fait vacciner avec AstraZeneca ». Jamais auparavant on n’avait
entendu de politiciens mettre en ligne les traitements qu’ils recevaient. Mme Merkel,
c’est le clou du spectacle, elle a même montré son certificat de vaccination. D’après
mon interprétation, ils voulaient simplement éviter qu’AstraZeneca reste sur les rayons
et d’être poursuivis pour gaspillage de l’argent des contribuables. Les gens craignaient
encore ce genre de choses à l’époque. Entre-temps, c’est devenu coutumier de chaque
année dépenser des milliards en doses de vaccin que l’on jette ensuite, mais à l’époque
on avait encore peur. Se sont-ils vraiment fait vacciner ? Chacun peut en décider. À
partir d’un QI de 90, on parvient à prendre une décision.

Passons maintenant au thème des enfants. Le 11 mars 2020, on lit dans le procès-
verbal, « Des fermetures d’écoles dans des zones qui ne sont pas particulièrement
touchées ne sont pas recommandées. »
Cinq jours plus tard, toutes, y compris les
jardins d’enfants, étaient fermées. D’ailleurs le même jour, ce 11 mars 2020, une autre
équipe de crise s’était réunie, et en gros, l’avait déjà décidé. Et le 16, les écoles étaient
fermées, malgré des allers-retours avec le RKI. Le 21mai 2021, « L’associations
professionnelles de pédiatrie… », donc les pédiatres, « … sont réticents vis à vis de la
vaccination des enfants. » « Les politiciens préparent les campagnes de vaccination. »

Un peu plus tard, presque en suppliant, « Les enfants, en comparaison des autres
maladies respiratoires, ont un risque plus faible de progression vers une maladie
sévère. » On constate une résistance interne, mais elle n’est jamais communiquée au
monde extérieur. Et à la fin de 2021, on lit : « Actuellement, une vaccination de rappel
des enfants est également planifiée du côté ministériel, bien qu’il n’y ait aucune
recommandation et en partie pas d’approbation. »
Le ministre de la santé a posté le
tweet suivant à ce sujet : « Chez les enfants âgés de 12 à 15 ans, BioNTech avait une
efficacité de 100 % contre le Covid sans effets secondaires. » (Encore une fois, cette
affirmation qu’il n’y a pas d’effets secondaires !) « Tout plaide en faveur de la
vaccination des enfants.
 » Si vous n’êtes pas bloqué comme moi, vous pouvez ouvrir le
tweet de Lauterbach et cliquer sur sa source, et vous verrez que c’est un blog qui
partage un communiqué de presse de Pfizer & BioNTech. Le Ministre est
essentiellement un bureau de publicité de l’industrie pharmaceutique. Il n’y a aucun
article scientifique avec ce post.

J’en arrive à la conclusion. Cette dernière diapositive est la plus complexe, elle est
divisée en trois parties, et de mon point de vue, c’est aussi la plus importante. Elle
montre d’abord la dite évaluation des risques du RKI sur 3 ans. En vert, cela signifie
que l’on vit avec les virus comme les gens en ont eu l’habitude au fil des siècles. Jaune
et encore plus rouge signifient confinement, fermetures d’écoles et de jardins d’enfants,
couvre-feu, masques obligatoires, rester dans un rayon de 15 km, et vaccination forcée
directe et indirecte. Vous voyez en mars 2020, que le RKI a soudain augmenté le
risque, en mars 2020, à gauche, cela passe du vert au jaune, et cela reste ainsi
jusqu’au début 2023, et alors on repasse au vert. Regardons maintenant à titre de
comparaison une statistique du RKI et du Ministère fédéral de la Santé, qui montre
l’occupation des lits de soins intensifs. La ligne verte en bas montre l’occupation
normale recommandée des capacités allemandes d’unités de soins intensifs. Vous
verrez ce qui suit : En 2020, leur sous-utilisation est claire, complètement anormale.
C’est ce qu’a déclaré le RKI dans ses procès-verbaux au sujet de l’occupation
hospitalière totale. A cette époque, des milliards de subventions ont été versés aux
hôpitaux, pour éviter la faillite. C’est aussi l’époque à laquelle le personnel hospitalier a
créé ces danses qui circulaient partout sur Internet. Puis vous voyez qu’en 2021, 2022,
2023, l’occupation totale de l’unité de soins intensifs ne fluctue quasiment pas et que
cela ne ressemble absolument pas à une situation spéciale. Le plus intéressant dans ce
graphique est la ligne pointillée tout en bas. Ce sont les cas PCR. Les gens qui ont
contracté le Covid ainsi que ceux qui, par exemple sont arrivés après un accident de la
route et qui, comme requis à l’époque, devaient obligatoirement faire un test PCR à
l’admission. Vous voyez en bas que cette courbe PCR fluctue énormément sans que
cela n’ait aucune influence sur l’occupation totale supérieure. Le cœur du problème,
c’est que les médias, durant trois ans, n’ont montré à la population que la courbe
inférieure avec sa soi-disant croissance exponentielle, comme ils disaient. Si vous
comparez à présent les deux, vous vous diriez qu’il est complètement incompréhensible
que le graphique du haut indique un risque aussi élevé, alors que celui du bas affiche
une normalité complète. Clairement, on ne le comprend pas, n’est-ce pas ? mais vous
le comprendrez à travers la fuite du RKI. Voici maintenant l’explication à gauche. Seize
mars 2020 : « Pendant le week-end, une nouvelle évaluation des risques a été
préparée. »
Et, comme l’a révélé le procès, une nouvelle évaluation venue du ministère,
donc pas une évaluation scientifique. « Cette semaine, le risque doit être augmenté. »
Un jour plus tard, le rapport du RKI dit : Risque élevé, et puis on est entré en
confinement. En juin 2020, non seulement les refroidissements étaient tout en bas, ce
qui est normal pour la saison, mais même ces chiffres PCR étaient au sous-sol et
s’approchaient de la ligne du zéro. Et en prélude au procès-verbal affiché ici, les
membres du RKI ont rédigé le procès-verbal qui proposait que le risque soit à nouveau
baissé. Mais ensuite on lit quelque chose concernant le général de l’OTAN, Holtherm.
qui était le chef suprême du RKI, à deux niveaux hiérarchiques au-dessus de M. Wieler.
M. Wieler était plus une figure de proue, ou un porte-parole, « Holtherm a décidé mardi
soir que l’évaluation des risques ne devait pas être modifiée pour la semaine à venir. »

La semaine à venir, cela a l’air anodin. Mais vous voyez, cela a duré trois ans. Puis le
25 février 2022, la réduction du risque de « très élevé » à « élevé » a été rejetée par le
ministère fédéral de la Santé. C’était peu avant le vote sur la vaccination générale
obligatoire. Maintenant, la seule partie vraiment drôle que j’ai trouvée dans toute la fuite
du RKI : Le 26 avril 2023, « Début avril, le ministre a déclaré que la pandémie était
terminée. »
Le RKI l’a appris tel quel, directement du journal. « On pourrait réfléchir à
placer l’évaluation des risques sur faible. »
On avait totalement oublié, vous voyez donc
que du début à la fin, il ne s’agissait pas de médecine.

Les conclusions suivantes s’imposent, selon moi : Nous voyons avec le RKI le
problème fondamental de l’État de droit : Selon Montesquieu, les tribunaux devraient
contrôler l’exécutif. Mais les tribunaux ont principalement traité avec et cru les autorités,
c’est essentiellement ainsi que se sont déroulés tous les procès, qu’il s’agisse de la
vaccination obligatoire, des confinements ou des fermetures d’écoles. Le RKI et le PEI
ont toujours agi en tant que témoins, et les tribunaux ont été d’accord avec toutes les
restrictions. Parce que toutes les autorités sont tenues de respecter les instructions, le
gouvernement est son propre témoin. Et cela abolit la séparation des pouvoirs. Il faut
avoir de la chance et disposer d’un lanceur d’alerte bienveillant pour parvenir à de
meilleurs résultats.

Je vais maintenant citer une phrase d’un jugement actuel : « Cette évaluation, basée
sur les recommandations de l’Institut Robert Koch (pour l’obligation vaccinale), est mise
à mal par les procès-verbaux de l’Institut qui viennent d’être publiés. »
Cela signifie que
le Tribunal administratif d’Osnabrück, dans un procès sur la vaccination obligatoire d’un
employé des soins de santé, a réfuté l’obligation vaccinale sur la base de la fuite du
RKI, qui contredit les dires précédents, et a renvoyé l’affaire à la Cour fédérale
Constitutionnelle pour une nouvelle décision. À mon avis, le même problème se pose
avec d’autres autorités comme l’Office de la Protection de la Constitution et l’Agence
fédérale de l’environnement. Ils ont un rôle à jouer dans les procès, même s’ils sont
subordonnés à l’autorité de l’État. Merci beaucoup de votre attention.

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